dimanche 20 janvier 2008

J'ai dû fumer un truc...

J'ai beau me livrer à cette coupable activité depuis plus de vingt ans, je ne comprends toujours pas avec précision comment cela fonctionne. Depuis le début de ce Brigade mondaine, je me traîne à 17 ou 18 pages par jour (ah ! elle m'aura coûté de la peine, cette Blandine, je vous le dis !). Or, ce matin, en trois heures, j'en ai écrit 25. Pourquoi ? Comment ? N'en sais rien...

8 commentaires:

  1. Ah! si Francis TBM était là avec un savant calcul il vous démontrerait le pourquoi du comment votre stylo-fille est parfois muette !

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  2. Envie d'en finir avec Blandine qui vous coûte?
    des bizettes, au désespoir.

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  3. Ce qui prouve, avec à-propos, qu'"il y a plus de choses mystérieuses...", comme disait Shakespeare, ajouté-je pour masquer un ènième trou de mémoire... et ce qui prouve aussi que "rien ne se perd, tout se transforme", car c'est l'inverse pour moi, complètement à sec.
    Enfin, tant que quelqu'un écrit, c'est tout bon !

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  4. « -Enfin, pensa Blandine en regardant les pages qui s’accumulaient. Bientôt, très bientôt, elle serait dans les bras de Sonia. Un long frisson brûlant transperça sa chair, l’image de la jeune russe l’envahissait comme un alcool torride, la possédant entièrement. Son souffle s’accéléra, elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir. Oui, bientôt, ce serait le chapitre IX.

    Peeping Restif (Admiratif. 25 p ! Bon, maintenant, vous la tenez).

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  5. Extrait des dernières lignes du BM, écrites ce soir :

    Mue par une impulsion soudaine, Blandine Devaux quitta précipitamment le salon, après avoir abandonné son verre sur le couvercle du piano laqué blanc.
    Elle se précipita dans sa chambre, attrapa son manteau de fourrure fauve étalé sur son lit, qu’elle enfila simplement par-dessus ses sous-vêtements de dentelle noire. Puis, ayant récupéré les clés de sa Jaguar dans le grand vestibule, elle se précipita dehors. En se disant qu’elle était complètement folle. Que, vu les circonstances, la seule chose à faire était de rester bien tranquillement chez elle.
    Mais c’était plus fort qu’elle, plus fort que tout : il fallait qu’elle sorte. Qu’elle y aille. Maintenant.
    Bientôt, très bientôt, elle serait dans les bras de Sonia. Un long frisson brûlant transperça sa chair, l’image de la jeune russe l’envahissait comme un alcool torride, la possédant entièrement. Son souffle s’accéléra, elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir.
    Si elle ne voyait pas rapidement la jeune femme, Blandine se sentait capable de se mettre à hurler de désespoir.

    Vous me direz combien je vous dois pour l'insert...

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  6. Un pot de yaourt s'impose !

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  7. Alors là… Pantois. Vous m’avez sou-fflé ! Je suis TRES fier !!! C'est un beau cadeau, merci.
    Et vous ne me devez rien évidemment. Je suis –bis repetita- bien trop fier de mon infime participation à ce légendaire édifice populaire. Vous savez, il me fait rêver moi, ce métier. Mais sans l’ « affaire Ylis », je serais resté humble comme la violette.

    Ps Il se trouve que j’ai connu l’adorable Richard Carron qui désirait m’introduire dans cet univers quand la faucheuse est passée…

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  8. Cherchez pas : travailler plus pour gagner plus, qu'il disait !

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.