mardi 15 janvier 2008

On parle de nous dans les hautes (blogo)sphères...

Je prends tout doucement les hommes comme ils sont,
J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font ;
Et je crois qu'à la Cour, de même qu'à la ville,
Mon flegme est philosophe autant que votre bile.



" Goux, Didier, lui il est bon. Ya qu'à voir son blog. Il passe son temps à dire que, sorti de Renaud Camus, y a rien, mais alors rien de rien, c'est pas croyable, de la merde en boîte, mais il passe aussi son temps (je ne sais pas comment il fait, il doit avoir deux temps à lui…) à être et à faire tout ce que son héros déteste, avec ses copains blogueurs. Ce type-là est un exemple, pour moi. Il est à la schyzophrénie ce que Duras est à la Musique. J'ai toujours suspecté l'être humain d'être assez complexe, mais un être humain complexe, à côté de Didier Goux, c'est comme VS à côté d'une femme. "


Cette fois, pas de doute, c'est la gloire. Me voilà associé pour l'éternité à Madame de Véhesse (que je salue au passage, en espérant qu'elle ne déprimera pas trop de ce compagnonnage forcé...) et promu au rang d'anti-personnage camusien. Si mes "copains blogueurs" veulent jouir de l'intégralité de cette tempête, le verre d'eau est par ici...

25 commentaires:

  1. Non ! On dit un Antoine Compagnonage quand on est distingué ! Ah ! vous avez encore du chemin pour rejoindre Madame de Véhesse dans ses altitudes ...

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  2. Y a Tinou qui vous appelle sur l'autre fil ...

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  3. Votre ami me fait définitivement penser à quelque personnage de Molière...

    Néanmoins l'amitié se doit d'être exigeante pour avoir de la valeur. Cela dit 'aime assez que mes amis m'autorisent à n'être malgré tout qu'un être humain. Un luxe que vous n'avez pas avec Georges selon toute vraisemblance...

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  4. Votre ami gnin gnin gnin… Selon toute vraisemblance… à n'être malgré tout qu'un être humain… Pauvre pomme, arrête donc de t'écouter parler, et dit enfin quelque chose.

    Je découvre que tu es "prof de lettres modernes"… Et que tu aimes "bouquiner". Ça ne m'étonne vraiment pas. (Et en plus à Gentilly…) Mais, s'il te plaît, évite de venir faire tes minables calembours àlapapoux sur mon blog, ça me fatigue d'avance.

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  5. Vous avez encore beaucoup de chose à découvrir Georges...

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  6. A commencer par les joies du vouvoiement, un jour vous finirez par y arriver...

    Mais votre haine de l'anonymat a sans doute quelque fine maxime à nous asséner définitivement sur Gentilly et la lecture qu'on peut y faire, chacun de vos message est un réel éblouissement.

    A vos moments perdus, apprenez donc à sortir de habit de tragédie et à replacer vos moindres sentences dans leur insignifiance originelle. Car si de nous deux je suis bien celui qui s'entend parler, vous êtes celui qui aboie et crois parler ce qui déjà est pénible, et de surcroit vos aboiements couvrent jusqu'au murmure qu'un imbécile à calembours a su entendre et que vous piétinez une fois de plus avec un beau détachement.

    Relisez un de ces jours le Misanthrope, à Gentilly si vous ne pouvez faire autrement... Si votre boursoufflure n'est pas tout à fait ce que l'on pourrait croire en vous lisant vous devriez y trouver votre content.

    PS: renseignez vous sur la signification de "modernes" dans cette certification...
    Quant à votre blog à sécateurs n'ayez aucune crainte, je n'y mets plus guère les pieds. Je n'ai pas évité la fréquentation des staliniens de fac de lettres pour me vautrer aujourd'hui chez un de leurs doubles réactionnaires, vous n'êtes pas autre chose cher petit maître de l'index...

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  7. Je n'y comprends rien! Pourquoi tant de haine dans un monde déjà si cruel?

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  8. Venez Élise, retirons-nous et laissons les hommes se battre (comme toujours).

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  9. Puisque Georges a décidé de censurer ce qui l'arrange, je viens faire mon "coming out" chez vous, Didier (excusez-moi de vous importuner à ce sujet).

    En effet, le calembour qui l'importune et qu'il qualifie de "goussien", attribué dans un ultime égarement paranoïaque à la plume de Monsieur Tang, est en fait de ma signature. Dans un commentaire laissé dans son antre, j'explique que depuis votre déménagement je suis devenue "silencieuse".

    Restant à votre disposition pour tous renseignements complémentaires,
    Je vous prie de croire, Monsieur Goux, en l'assurance de mes sincères salutations (blablabla...).

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  10. Anange, vous êtes ici chez vous, vous le savez bien.

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  11. Tempête dans un verre d'eau, sûr, il n'y a pas d'autre formule possible...

    Cela dit, pour revenir sur "le fond du débat", comme je crois qu'on dit, toute cette histoire m'avait échappé, mais je doute que l'on puisse conclure de la critique rinaldo-camusienne des goûts de Marguerite Duras (qui sont effectivement d'un conformisme qui touche à l'insignifiance) que RC soit "snob".

    Ensuite, la nécessité de "pondre" un billet aussi détaillé et aussi virulent sur ce sujet relève plutôt de la psychiatrie, je pense... avec ou sans pseu.

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  12. Guillaume, je n'ai jamais AFFIRMÉ que Renaud Camus était snob. J'ai dit qu'il serait intéressant d'étudier l'oeuvre de Renaud Camus sous cet angle particulier. Georges a beau itroniser avec Proust et ses duchesses, il me semble que l'étude des rapports de Proust avec le snobisme n'a pas été jugé indigne d'intérêt et d'étude, par des gens comme Mauriac, Tadié, Revel, Girard et probablement d'autres.

    Mais bon.

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  13. Ah !

    marcel et son pneu

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  14. Ça, qu'"Anange soit ici chez elle", comme Cingal et Cie, on n'en avait jamais douté. C'est bien le sujet, en effet. Et ça en dit long.

    Il faut vous mettre une fois pour toutes dans le crâne que Georges ne court pas après les commentaires, ni les visiteurs. Je sais, c'est très difficile à comprendre (pour vous), mais c'est comme ça.

    Georges N'EST PAS SYMPATHIQUE, il est même très antipathique, c'est comme ça qu'il est né, et il entend bien continuer, avec ou sans votre bénédiction.

    Anange, vous êtes une pauvre fille pas très intelligente. Je vous l'ai déjà dit, si vous voulez un peu évoluer, laissez ENFIN tomber toutes ces conneries de blog et autres, et occupez-vous de vos enfants et de votre mari, il n'y a aucun mal à ça.

    Quant aux commentaires de GC sur la musique, on est, comment dire… assez amusé ? Oui, c'est ça, amusé.

    Didier, je vous l'ai déjà dit, je renonce tout à fait à avoir une conversation sérieuse avec vous, que ce soit à propos de Proust ou de Renaud Camus, ou de n'importe quoi, d'ailleurs, vous êtes un savon mouillé et un courtisan pas très glorieux qui ne répond jamais directement à une question directe.
    Mais tout cela n'a aucune importance.

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  15. Assurément, passer ses journées à mater des sites de rencontre en regrettant de n'être pas devenu Stockhausen, c'est moins amusant, déjà...

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  16. Si vous permettez Didier, vous avez effectivement fait une petite erreur (vénielle, très vénielle). Comme le signale justement Guillaume, la question posée par Mme de Vehesse dans son blog, qui portait sur la cohérence logico-culturelle entre un constat donné (MD écoute ceci ou cela) et la conséquence qui en était tirée par RC, n'impliquait probablement pas de débat sur le snobisme de ce dernier. Involontairement vous avez ouvert un champ herméneutique dans lequel les divisions ennemies se sont engouffrées. Et comme elles manquent singulièrement de subtilité, on ne comprend plus rien, ni au débat d'origine, ni d'ailleurs au nouveau débat tel qu'il résulte de l'intervention georgienne. C'est donc non seulement une tempête dans un verre d'eau, mais en plus ce n'est pas la bonne tempête dans le bon verre d'eau.

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  17. Ah bon ! On progresse...

    marcel et son pneu

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  18. Pour ma part, il me semble justement que cette affaire de "snobisme" est tout à fait pertinente et je ne vois pas en quoi penser qu'il y a du snobisme chez R.Camus dévaloriserait son oeuvre. Mais il est vrai que le snobisme n'est pas le ressentiment, passion triste dont ne semble pas exempt certain...

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  19. Il y a quelque chose de bien dérisoire dans cette rengaine du chien méchant qui ne veut pas être gentil.

    Cela fait penser aux petites frappes qui tiennent absolument à ce que tout le monde sache qu'ils sont des vrais durs...

    Aussi Georges nous le savons (mouillé), certains même ici s'en amusent ce qui me semble une option très raisonnable.

    Quant au reste, je crois que Didier a répondu au coeur du sujet qui vous intéresse: vous n'avez rien à foutre de Renaud Camus, de Duras et la musique, ce n'est pas la remarque de votre ami sur ce sujet qui vous intéresse mais bien ce qu'il fait sur son blog, ou sur d'autres.

    Toutes choses dont, si vous aviez le moindre soupçon de pudeur, vous ne devriez vous ouvrir qu'auprès de l'intéressé par quelque voie privée à votre convenance. Au lieu d'étaler vos différends sur votre blog puis ici.

    Par ailleurs il n'y a aucun lien entre le nombre de visiteurs et la possibilité ou non de poster ses commentaires. Inutile de travestir vos basses pulsions sécatrices en nobles considérations d'esthète au dessus du jugement de ses contemporains: c'est assez ridicule.

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  20. Sans me vanter, j'ai rien compris.

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  21. Ah ! Si j'avais un sécateur comme chantait si bien Claude François !

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  22. à Pascal... Pour les autres je suis comme Catherine, je n'y ai rien compris. Je ne nie pas du tout le snobisme de RC et ne pense pas que ce snobisme dévaloriserait son oeuvre. Je disais seulement que ce snobisme n'était probablement pas en cause dans l'incohérence apparente des remarques concernant Marguerite Duras. Ou plutôt que, même si on attribue ces remarques au snobisme, on se retrouve avec un reste d'incohérence que le snobisme n'explique pas et qui constituait l'objet du débat. Ouh la la que cela filandre...

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  23. Il ne faut jamais bavasser avec l'ennemi, ni sur son terrain ni ailleurs. Il faut lui faire échec en inventant un autre jeu et d'autres règles du jeu que ceux dans lesquels il tente de vous attirer (et qui sont d'ailleurs rarement des jeux, car l'ennemi n'a pas le sens du jeu, c'est même pour cela qu'il est votre ennemi).

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  24. Quelle boursoufflure...

    Son pneu parle de lui à la troisième personne...


    Marcel

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.