mercredi 3 septembre 2008

Côtes (de boeuf, du Rhône et autres lieux)

À l'heure où ces lignes (Louis-Ferdinand) apparaîtront ici même, et sous réserve de mort violente sur le périphérique extérieur, l'Irremplaçable et moi serons attablés devant une côte de boeuf, ou toute autre nourriture chrétienne, à la désormais célèbre Comète, en compagnie du plus illustre hôte de ce prestigieux établissement bicêtro-kremlinois (ou bistro-kremlinois, comme on voudra.) et probablement de quelques autres, également hauts en couleur - certains de naissance, d'autres par accointance trop marquée avec le beaujolais. On va essayer de se tenir correctement.

Mais peut-être, alors que vous lisez cet engagement hasardeux, est-il déjà trop tard...

14 commentaires:

  1. Fait's gaff' quand mêm', sur le périph',
    De pas avoir un coup dans l'pif :
    Après l'délic' d'la côte de bœuf,
    Vous tâteriez d'la bott' de keuf...


    Sophocle THUIVREAU, Stances à Didier Goux, Sublaines 2008.

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  2. 1. Vous ne vous êtes pas conduit parfaitement.

    2. Je ne suis pas l'illustre hôte, vous avez payé l'addition en profitant que j'avais le dos tourné.

    3. J'ai encore soif.

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  3. avis de recherche:
    Didier, je recherche désespérément le titre exact d'un sketch d'Alex Métayer. Si vous m'y autorisez, je donnerai quelques indications supplémentaires.

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  4. Nicola, il s'est très bien tenu ! Il a juste engueulé des gens trop bruyants !

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  5. Catherine,

    Oui. Mais n'oubliez pas que j'ai mis ce commentaire hier soir : je ne me tenais pas bien.

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  6. Ok, continuons l'appel : Goux ? Vivant. Au suivant.

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  7. Périph + Comète + hauts en couleurs !
    Vous aimez le danger, Didier Goux !
    Sans même parler de Nicolas !
    :-))

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  8. Didier, à quel(s) bio-carburant(s) avez vous fonctionné ?

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  9. De Beaune, la côte. De Beaune...

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  10. Pardon de ne pas répondre personnellement à chacun de vous. J'ai :

    1) du travail,

    2) bobo la tête.

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  11. Didier : recette perso : Profénid 100 mg 1 cp. Après 10 minutes plus bobo .
    Bon boulot !

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  12. Didier, travailler en ayant la gueule de bois, ce serait trop dur pour moi... La vraie de vraie je l'ai eu une fois dans ma longue vie, et il m'a fallu 24 heures pour émerger à peu près.
    Peut-être êtes-vous mithridatisé ? (enfin, je ne voulais quand même pas dire que vous buvez du poison, oh quand même).
    Anna R

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  13. hum, ce doit être : « que vous buviez » , à nous deux grammaires et conjugaisons.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.